• Poeme 01/03/22 19:15

     
    Loin de toi je ne suis rien,
    Moi qui aimerais te suivre.
    Partout mes pas dans les tiens,
    Pour qu’enfin je puisse survivre.
     
    Mon sang vient du froid,
    Mais est chaud comme la braise.
    Pour celle qui comme toi,
    Font de ma vie un malaise.
     
    Mais qui suis-je pour parler ainsi,
    Un de tes soupirants parmi tant.
    Qui pour toi auraient cent ans durant,
    Donner bien plus que ma propre vie.
     
    Toi qui tirent les fils de ma destinée,
    Toi que j’aurais tellement aimé.
    Mon cœur aura bien trop saigné,
    De t’avoir un jour rencontrer.
     
    D’avoir vainement espéré,
    De ta part un peu d’amour.
    Pour celui qui sera toujours,
    Le serviteur de ta volonté.
     
    De toutes celles que j’ai regardé,
    Dans mon cœur ton nom gravé.
    Là où les pleurs ont balayés,
    Le manque d’amour et de pitié.
     
    Je sens le froid du fer,
    Fouillé durement mes veines.
    Mon âme descend vers l’enfer,
    Et enfin a disparu la peine.

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